Des empreintes de dinosaures moulées dans de fines couches de dolomies, affleurent sur le site du Castellas, à Saint Laurent de Trèves. Le paysage alentour résulte de l’érosion et témoigne d’une histoire géologique de plus de 500 millions d’années.
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Ce sentier donne des éléments pour décrypter des structures de schiste, comprendre si elles sont façonnées par la nature ou par l’homme. Il emprunte en partie une draille, chemin de crête très ancien, généralement jalonné de vestiges préhistoriques.
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Ce circuit permet de comprendre la géologie des Cévennes. Il se réalise en voiture, en une journée et comprend 8 arrêts.
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Ce sentier de découverte traverse un système de terrasses en pierre sèche qui constituent les jardins du village de Saint-Germain-de-Calberte. Il présente une grande variété de plantes des murettes adaptées à la sécheresse et aux sols pierreux (plantes saxicoles).
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Cet itinéraire part de Fraissinet-de-Fourques, dans le schiste, puis traverse les couches sédimentaires calcaires jusqu’au plateau du causse Méjean. Sur le Causse, on observe le paysage karstique de Nîmes-le-Vieux.
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Cet itinéraire sur Florac traverse une partie des couches calcaires déposées au fond de la mer, il y a 200 Ma sur le socle schisteux. Ces roches, soulevées et érodées par la suite, forment le causse Méjean où l’eau s’infiltre et ressort à la limite avec le schiste imperméable, à la source du Pêcher.
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Cet article présente trois sites où l’on peut observer des filons de fraidonite ou kersantite, son nom scientifique, dans les schistes des Cévennes. Cette roche magmatique sombre a traversé les schistes, il y a près de 300 millions d’années, lors de la mise en place des granites du mont Aigoual, du Saint-Guiral–Liron et du mont Lozère. Elle est utilisée localement dans la construction en linteau ou en pierres destinées à être taillées.
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Les terrasses cévenoles sont omniprésentes dans le paysage, depuis des temps immémoriaux. Construites en pierre sèche, elles permettent de maintenir et de protéger les sols, et ainsi de cultiver, ce qui autrefois était indispensable à la survie des habitants.
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Les Calquières s’insèrent dans un système de terrasses en pierres sèches aménagé à flanc de montagne. Ces « bancels » ou « faïsses », encore utilisés de nos jours, renferment une partie des jardins du village.
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Sur la route d’Alès, en descendant de Saint-Germain de Calberte vers le pont de Lancizole, nous pouvons observer sur le flanc de montagne en face un éboulis de pierre de schiste au lieu dit, la Fialaïre. Ce glissement de terrain, effectué de manière continue entre 1869 et 1889, subsiste de nos jours.
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Cet itinéraire sur Ruas traverse les principales roches des Cévennes, le schiste, le calcaire, le granite et le grès. On observe des cornéennes, un filon de barytine, les contacts entre ces roches dont une faille dans le paysage.
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Cet itinéraire à partir du Col St-Pierre (Corniche des Cévennes) fait découvrir les divers schistes des Cévennes et l’histoire géologique de leur formation.
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À partir d’un travail de commande, la photographe Karine Granger illustre l’univers de paysans qui ont fait le choix de vivre en Cévennes.
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Après le retrait de la mer et l’émersion des terres, les événements ultérieurs jouent un rôle fondamental dans la formation des paysages actuels. Ces derniers sont le fruit de deux processus, l’érosion et la création de relief avec la formation de deux chaînes de montagne, la chaîne pyrénéo-provençale et les Alpes.
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À partir de 250 millions d’années, la chaîne de montagne hercynienne est entièrement érodée. C’est sur cette vaste plaine parcourue par des rivières que la mer va s’installer progressivement. À partir de 200 millions d’années, la région est située dans l’hémisphère nord, sous les tropiques. Ce sont des marais maritimes où vivent les dinosaures, puis la mer envahit progressivement la région. Sa faible profondeur et sa température élevée permettent la formation de calcaires qui se déposent en couches durant plus de 100 millions d’années.
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Entre 330 et 280 millions d’années, des magmas cristallisent en profondeur sous forme de granite et les bassins sédimentaires houillers avec du charbon se forment.
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Le 29 janvier 2011, les scientifiques des laboratoires de Géosciences et Hydrosciences de Montpellier 2 lançaient un communiqué pour informer et éclairer le débat sur le problème du gaz de schiste. Cet article résume les principaux points de ce communiqué, explique ce qu’est le gaz de schiste, où se trouvent les gisements, comment on l’extrait et qu’elles sont les conséquences de cette extraction sur l’environnement.
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Suite à la fermeture de l’océan, les plaques se chevauchent formant, à partir de 380 Ma,une chaine de montagnes appelée chaine hercynienne. Les Cévennes sont enfouies sous 15 km de profondeur, chevauchées par une grande nappe qui avance du nord vers le sud. Les sédiments déposés au fond de l’océan se transforment et se déforment en schistes. Ces schistes sont eux-même plissés, étirés, cisaillés dans des zones de chevauchement très déformées.
On peut suivre une zone de schiste déformé tout le long de la route de la Vallée française et le site du Martinet offre un remarquable cas d’école.
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Des sédiments se déposent au fond d’un océan peu profond qui sépare la Bretagne du sud de la France, Il y a plus de 500 Ma. Ces sédiments, qui ont été transformés par la suite, se retrouvent dans les Cévennes et sous les Causses. Plusieurs sites qui permettent d’observer les traces de cet épisode.
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La photographe, Florence Arnaud, a été à la rencontre des lieux qui ont servis de refuge à ces maquis d’antifascistes allemands, relatant le parcours de ces hommes de leur entrée en clandestinité en 1942 jusqu’à la Libération en 1944.
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Les sites présentés dans cet article permettent de retracer l’histoire des roches et des paysages en Cévennes qui a débuté il y a 500 millions d’années : Un ancien océan, sa fermeture et la formation du schiste, la mise en place des granites avec les failles et les minéralisations, la formation du charbon, le passage des dinosaures, l’invasion de la mer, enfin le paysage que l’on voit aujourd’hui, résultat de cette histoire et de l’érosion des roches.
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Le sentier de Saint Germain de Calberte est un sentier de découverte qui vous emmène au coeur de l’histoire du village. Treize panneaux explicatifs jalonnent un sentier d’interprétation destiné à faire découvrir le village, ses gens, ses paysages, et son histoire aux habitants et aux gens de passage.
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Ce circuit de 32 km, accessible en VTT, vous propose de découvrir les diverses voies de communication des Cévennes à travers le temps. Partant du village vacances Lou Serre de la Can, vous rejoindrez une route royale aménagée sous Louis XIV, utilisée à l’Antiquité et empruntée depuis la Préhistoire. Poursuivant sur le chemin de Stevenson, vous arriverez à Cassagnas, puis longerez l’ancienne voie ferrée qui reliait Florac à Ste-Cécile d’Andorge. Au col de Jalcreste, vous rejoindrez le col des Laupies et le village vacances en empruntant un sentier utilisé par les premiers maquisards antifascistes allemands qui se sont établis dans la vallée de la Flandonnenque.
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Le hameau de l’Espinas se trouve le long de la route des crêtes qui relie la Vernarède (Gard), près de Portes, au Pont-de-Montvert en Lozère ( D35-D52). Cette voie qui date de l’Antiquité offre des points de vue remarquables sur l’ensemble des Cévennes et du Mont Lozère. Au dessus du hameau, sur la crête, une table de lecture géologique du paysage détaille le panorama du Mont-Lozère et des Cévennes. On peut même apercevoir les Alpes par temps clair.
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Traversez Barre des Cévennes et la Can de l’Hospitalet et découvrez les quatre roches principales, le schiste, le granite, le calcaire et le grès et comment leur érosion se traduit dans le paysage.
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